Dans la série gastronomie, j’ai fait connaissance avec une autre institution culinaire française, le bouchon lyonnais. Ça n’a pas été dans la dentelle, avec un menu centré comme il se doit sur la tripe: gras-double, poêlé et en tablier de sapeur.
Moi qui pensais avoir une tranche de foie de veau et un peu de lardons (erreur induite par un Lyonnais d’adoption)…
Finalement, c’est même pas gras le gras-double, mais c’est assez roboratif. Précédé par un saucisson et du pâté, gratinés dans leur sauce aux oeuf, et suivi de ficelle, d’une tarte aux pralines, et d’un café bien poussé, c’était une expérience à faire.