SkypeOut Free for everyone….

SkypeOut Free for everyone:

Now anyone can make free international calls using SkypeOut even if they don’t have SkypeOut as an added value service!

Free SkypeOut was announced by Jaanus Kaze an hour ago in the Share Skype blog.

The small print explains that this is for calling typically toll free numbers such as 800, 866, 888.

Il faut que j’essaye ça. C’est frustrant de ne pas pouvoir bénéficier des numéros 1-800 nord-américains à partir de l’Europe!

La petite histoire

J’ai entendu une histoire…

Il était une fois un pays industrialisé qui s’était beaucoup impliqué dans les activités de cetaines institutions internationales.

Un chercheur, notant cet engouement, a étudié les tenants et aboutissants de l’engagement assidu de ce pays dans le processus multilatéral, allant jusqu’à en faire son sujet de thèse.

Ce n’est que quelques années plus tard que cette personne a appris que l’un des fonctionnaire haut placé à l’époque avait une liaison avec une interprète de conférence…

Ces derniers vivent apparemment encore heureux et ont beaucoup d’enfants.

WGIG

WGIG, c’est Workgroup on Internet Governance. Et ça a pondu un rapport (en français aussi) la semaine dernière. Le rapport a fait jaser pas mal de monde.

En gros, le rapport présente quatre scénarios pour la gestion des infrastructures de base de l’Internet, certaines étant je crois essentiellement incluses pour mettre en lumière les conséquences de certaines tendances.

C’est intéressant de voir les réactions, qui comprennent une bonne part de « if it ain’t broke, don’t fix it, et des sentiments anti-ONU, primaires ou tirant un inéluctable et apocalyptique parallèle avec le Pétrole-contre-nourriture. Des pays moins développés (probablement de manière tout aussi primaire), on entend plus d’appels pour le multilatéral à fond la caisse (mais on aimerait éviter de payer pour); et du côté de ceux qui ont lu les documents et suivi le processus, les positions sont plus nuancées… Ce que je trouve ironique, c’est que le « contrôle de l’ONU », même dans les visions de multilatéralisation les plus radicales du processus, est loin d’être une administration directe. Dans un exemple près de moi, les codes téléphoniques de pays et les satellites qui vous donnent ExpressVu et les autres SkyDishNetMachins sont aussi gérés par l’ONU, et on en est pas au bord du gouffre (il y a des contre-exemples, je sais). Enfin, je trouve que les mots employés pour décrire les possibilités dans le monde de la gouvernance de l’Internet sont souvent un poil démagogiques et je ne trouve pas que ce soit productif. Surtout à la lumière de la position du Canada, qui est plutôt arrêtée sur la question (exercice est laissé au lecteur de trouver de quel bord nos élus penchent).

Ce rapport suit de près la déclaration des États-Unis de conserver le contrôle du « root » du système des noms de domaine (ce qui est, aux les oreilles de plusieurs, perçu comme un changement de position significatif).

Ces deux documents sont des jalons sur la route (bon, mettons un jalon et un incident de rage au volant) vers le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI / WSIS) et y ajoutent une dimension concrète que je trouve intéressante. C’est pas plus mal sur le contenu donc. De mon côté j’apprends tranquillement qu’un Sommet, côté contenant, ça ne pousse pas dans les arbres…

Audiogram sur l’ITMS

Musique québécoise sur itms, entrevue un peu mince avec un représentant d’Audiogram, dont je vous cite une perle parmis d’autres:

Q – Pourquoi n’y a-t-il pas plus de chansons québécoises sur l’itunes Music Store ?

R – Personne chez Apple ne nous a contactés pour nous demander d’ajouter nos artistes au catalogue de l’iTunes Music Store.

Elvis avait pas tout à fait tord en suggérant « Think big »: à moins qu’il n’y ait une petite histoire derrière, l’entrevue ne laisse pas transparaître une quelconque attitude proactive (non, Archambaultzik ne compte pas) face à un marché en évolution.

Voir CFD et Brunmarde, qui s’insurgent contre l’article.

Contracts in the grassroots ecosystem

Can contracts survive in the grassroots ecosystem?:

Interfaces that are XML-based and schema-backed can lay a kind of contractual foundation for layered extensions.[…]

Formal contracts aren’t just stabilizers, they’re enablers. If documents were predictably structured, for example, we could visualize their change histories in even more compelling ways.[…]

Contracts are awkward beasts, and they generate a lot of friction. Of course, some friction is a good and necessary thing, but if we can’t make contracts easier to use, the grassroots ecosystem will continue to route around them. And that’s not in anyone’s best interest.[…]

More like this in Recipes for remixers

This column suggests making the implied contract between a Web application and its human or robotic user into something more explicit.

Quite frankly, I don’t yet see the legal subject matter. But I’ll keep reading.

Microformats

Je ne sais pas vraiment ce que sont les microformats (il y a une explication ici), mais il y a un format qui s’appele rel="license"

C’est vrai que c’est particulièrement damnant d’essayer de trouver sous quels termes sont offerts certaines oeuvres (en supposant que la page web moyenne soit minimalement originale et expressive).