J’ai trouvé un lieu commun entre la santé publique et le droit des technologies. En fait, Slashdot l’a fait pour moi: L’article traite de la responsabilité des fournisseurs de services et de la divulgation des failles de sécurité qui pourraient affecter les utilisateurs de leurs services. La pratique qui prévaut actuellement, la loi du silence, montre selon moi une certaine immaturité de cette industrie; le constat reste que celle-ci ne traite pas ses clients avec une considération minimale et ne se positionne pas comme une partie d’une infrastructure respectable, solide et fiable, se réclamant de valeurs professionnelles. Serait-ce parce que la responsabilité corporative ne parait pas bien en assemblé des actionnaires? Bref, ce sont des peddlers et l’auto-régulation ne fonctionnera pas.
A comparer avec le manifeste « Software That Lasts 200 Years« .