Le québécois parlé est assez riches en mots qui se terminent en « oune ». Il est facile pour un francophone d’une autre confession d’y perdre son latin, comme le confirme cet échange.
[via ni vu ni connu → Hou-Hou Blog]
Le québécois parlé est assez riches en mots qui se terminent en « oune ». Il est facile pour un francophone d’une autre confession d’y perdre son latin, comme le confirme cet échange.
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