So on this beautiful sunny warm lazy Thursday afternoon before the Easter holidays, the not-very-keen-on-working me has been staring out the window and cruising from office to office since lunch.
I feel like sharing a thought with the rest of you who read this thing: Does everyone agree that corruption is a necessary step for a developing country? I think so (sadly). I don’t know how to make this politically correct, but it does seem to be this way. Somehow, things that wouldn’t be possible otherwise, get accomplised when corruption exists.
I am not saying that corruption should exist at all time, but from the look of it, it isn’t all bad. It seems to have its use. The problem is that it is not very easy to decide who and how to control the extend of it.
That’s it…
Je ne sais pas trop quoi en penser.
Ma première réaction serait que l’esprit de la corruption, la flexibilité intéressée de la règle de droit, n’est pas l’apanage des pays en voir de développement…
Cela dit, les mécanismes parallèles sont effectivement très utiles, de la cosa nostra au bakchich, il y a clairement une vertu à faire fonctionner un système autrement inefficace.
Reste à voir si la corruption, sous une forme ou une autre, est un effet engendré par une administration déficiente ou, au contraire, une partie de la cause.
Par contre, je ne sais pas si je suis prêt à dire que la corruption d’un système politique ou économique soit une «étape obligée» du développement. Mais je n’ai pas non plus en tête d’exemple notoire où l’appat du gain n’a pas eu raison des principes de certains.