Yo Ho Ho and a bottle of Foster’s

J’ai eu une conversation cet après-midi sur la responsabilité des administrateurs de réseau dans un cadre universitaire. J’ai tendance à penser que si quelqu’un fait une diffamation par téléphone du bureau ou dans une lettre avec son en-tête de prof, l’université n’est pas responsable.

J’aurais tendance à assimiler le file sharing à un coup de téléphone. Selon moi ça implique une certaine obligation de diligence a posteriori, le tout est de déterminer l’étendue de ce devoir.

Quel remède doit-on prendre pour quelqu’un qui fait une utilisation douteuse des ressources didactiques?
On dirait que les labels de disque en Australie veulent trouver la réponse et n’y vont pas avec le dos de la cuiller avec leurs demandes: saisie et/ou fouille de tous les ordinateurs sur le campus.

[addendum: Zdnet fait aussi état de la situation]