L’abandon d’un blog

Ce soir, alors que la neige tarde de faire son apparition unanimement annoncée par les grands sages de la télévision, je me penche sur des questions fondamentales, telles « suite au réchauffement planétaire, la neige ne sera-t-elle qu’une légende que nous raconterons à nos petits-enfants? »; « faut-il craindre le bonheur afin de réduire le vide qu’il laissera s’il venait à disparaître? »; « quels sont les éléments fondamentaux qui distinguent les amitiés durables de celles qui, même dans leurs forces, ne sont vouées qu’à être passagères? » ET LA QUESTION : « Seek a-t-il abandonné Manual::Override???? ».

Ah…tant de questions en attendant que les doux flocons fassent leur apparition…..

4 réflexions sur « L’abandon d’un blog »

  1. Meuh non je ne l’ai pas abandonné mon blog. J’y pense bcp. Mais crois le où non, je suis rentré à Montréal hier soir, et j’ai bossé aujourd’hui. Et ce soir, je suis sur une mission spéciale urgente pour Fizz. Alors donc, reprise des émission régulières betôt…

  2. Cher Seek,

    vous n’avez tenté de répondre qu’à une de mes questions……. pffft 😉

  3. Neige: je vais écouter Legendes Amérindiennes de RBO et essayer d’imaginer ce que pourraient pondre de futurs humorismes à ce sujet. Au pire, on fera comme pour les arbres, on ira les chercher plus au nord. Faut bien utiliser ces gros SUV pour quelque chose, non?

    Bonheur: c’est genre avoir peur d’avoir peur? Comment définir le bonheur sinon par une différence de potentiel avec un état de vide malheureux que tu dépeins? J’aurais tendance à préférer carper mon diem et essayer de faire tourner ma petite roue de hamster karmique tant que je pourrai. Je ne crains donc pas le bonheur. A la rigueur je me méfie du bonheur faussement obtenu, mais viser une entropie émotionnelle nulle à des fins de se ménagers les nerfs ne me semble pas un cause à laquelle je veux me vouer.

    Amitié: question intéressante. I could simply move on, mais ce serait pas correct. Sérieux, je sais pas. Des fois, ca marche, des fois ca marche pas. Des fois j’ai l’impression que c’est ma faute, des fois j’en ai un peu moins l’impression. J’ai souvent modélisé métaphoriquement l’amitié en la comparant à un feu. Tout comme dans un feu, facteurs internes et externes contribuent au sort de l’affaire. Des fois ca part juste pas, parfois, les braises restent vives longtemps même si le feu n’a pas brûlé très fort (le bois à tête dure me donne souvent ce genre de résultats), sans parler du classique feu de paille. Imagine tes propres exemples, avec carburants, accélérateurs, conditions météo, foyers et autres circonstances idoines.
    Je n’ai pas de réponse quand à la nature des éléments fondamentaux essentiels a une longue de solide amitiée. Dans mon cas personnel, je crois que ce sont toujours un peu des cas fortuits qu’il serait vain de tenter de reproduire.

  4. AH…Merci pour vos éclaircissement Seek qui a, sans doute, su dénicher une part de vérité

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