Bonjour…..tel un disque gravé (style 33 tours et non un cd avec des informations précieuses), je reviens sur un sujet. Le 19 octobre, j’écrivais sur la nécessité des professionels à l’ère numérique.
Aujourd’hui en lisant BNA, j’ai constaté que la préoccupation de la médecine en ligne semblait aller au-delà de l’ordre des médecins, jusqu’à la Commission Européenne. En effet, selon un article sur ZDNet, la Commission Européenne veut introduire des normes de qualité minimale quant aux sites offrant des conseils médicaux ou pharmaceutiques.
Malgré le fait que je considère qu’il soit important de ne pas suivre de faux conseils médicaux et je comprends bien la problématique soulevée par les commandites de compagnies pharmaceutiques qui fondent des conseils offerts, je conçois difficilement la solution pratique pour la Commission Européenne. Comment croyez-vous qu’il soit possible pour la Commission d’instaurer, et surtout d’assurer le respect de normes de qualités minimales des sites Web de conseils médicaux???
La question est lancée
Les compagnies pharmaceutiques ont effectivement souvent recours a des trucs plus ou moins éthiques pour vendre de la pillule…
Nexium est bien meilleur que Prilosec… Parce que notre brevet sur Prilosec, malgré tout nos efforts, va expirer…
http://www.boston.com/globe/magazine/2002/1117/coverstory_entire.htm (via Boingboing et Plastic)
Et c’est pas génial les pubs de viagra sans mention de la pathologie? Et vice versa… Si c’est pas contre l’esprit de la loi…
Et on est même pas encore dans les sites web là !
La question d’extraterritorialité est intéressante, celle de qualification de “conseils pharmaceutiques” aussi… Mais le volet sur le fait que 50% des sites ne mentionnent pas leurs commanditaires ou leurs sources est un problème certain.
Mais la ‘tite pillule mauve a rendu la madame ben ben contente.
Mhh.. c un conseil ça?